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Faites entrer l'accusé

Season 14 2013 - 2014
TV-MA

  • 2013-09-08T19:00:00Z on RMC Story
  • 1h 30m
  • 1d 6h (20 episodes)
  • France
  • French
  • Documentary, Crime
A look back at a criminal case that made the court record. Each episode recounts one of the major French criminal cases tried since the 1950s.

20 episodes

Season Premiere

14x01 Robert Le Dinh, le «Saint élu» et ses adeptes

  • 2013-09-08T19:00:00Z1h 30m

Robert Le Dinh, dit Tang ou encore le « grand consolateur » ou le « Saint élu »... L'homme a de l'assurance, du bagou, du charisme. Pour ses amis, une cinquantaine de fidèles qui le suivent jusque dans un petit village de l'Ariège, c'est le nouveau messie. Pour lui, ils travaillent sans relâche, acceptent les privations et les dons généreux telles « la dîme au roi », cet impôt qu'ils versent tous les mois à Tang. Pendant des années, ces adultes et leurs enfants ont suivi son enseignement et ses prédictions parce qu'ils croyaient à « la loi du retour ». Pendant des années, les uns et les autres ont accepté d’être « responsables » d'une partie du monde, voire pour l'un d'entre eux, des finances mondiales, parce que Tang le leur avait demandé.

Son meurtrier s’est acharné. Il l’a battue à mort, étranglée et égorgée, avant de s’éclipser dans Valenciennes. Sophie Berkmans avait 41 ans. Elle a été assassinée le 7 octobre 2002, en pleine journée, dans son cabinet médical. Personne n’a rien vu ; rien entendu.

Jolie, souriante, la jeune rhumatologue jouissait d’une excellente réputation dans le Nord. Ici, on l’appelait « Dr Miracle ». Toute dévouée à ses études, puis à ses patients, et aux anciens mineurs auxquels elle consacrait quelques heures de consultation par semaine ; elle était encore célibataire et n’avait pas d’enfant. Elle travaillait beaucoup, voyait souvent sa sœur, et plus épisodiquement, un homme, Rachid. Une femme discrète, et à la vie si rangée que les policiers se sont cassés les dents sur le dossier. Pas une faille, pas un indice, dans lequel chercher une piste. Celle du meurtre passionnel n’a pas fait long feu. Celle du tueur en série a surgi le 30 octobre, trois semaines plus tard, quand le corps d’une étudiante a été découvert près de l’autoroute, à quelques centaines de mètres du cabinet de Sophie Berkmans. Là aussi, le meurtrier s’était acharné sur sa victime. En ville, la colère a laissé place à l’inquiétude. Qui serait la prochaine victime ?… Mais cette piste aussi a tourné court. La police a retrouvé l’assassin de l’étudiante. Ce n’était pas celui de la rhumatologue.

La mort de Sophie Berkmans est restée un mystère pendant de longues années. Six ans avant que les policiers ne découvrent enfin à qui appartenaient les ongles sales qu’ils avaient ramassés sur la scène de crime.

2013-09-22T19:00:00Z

14x03 Episode 3

14x03 Episode 3

  • 2013-09-22T19:00:00Z1h 30m

Le 17 mai 2005, les policiers découvrent dans un petit bois de Sucy-en-Brie le cadavre d’un homme exécuté de trois balles de 6,35 mm. Pas de trace de lutte. Le corps n’a pas été déplacé. La victime a manifestement été exécutée froidement. Les policiers relèvent des traces de poudre blanche : de la cocaïne, près du corps. Mais tout cela leur semble beaucoup trop… mis en scène. On voudrait leur faire croire qu’il s’agit d’un règlement de comptes, qu’on ne s’y prendrait pas autrement !
Or, la victime s’appelle Christophe Belle. C’est un pâtissier renommé dans le quartier du Marais, un père de famille « rangé » dont les affaires tournent bien, qui ne se drogue pas et n’a jamais trempé, ni de près ni de loin, dans une quelconque affaire de stupéfiant… Alors, que venait-il donc faire dans ce bois, en pleine nuit ?
Quand l’enquête commence, les policiers ne se doutent pas qu’ils vont remonter sur la tentative de meurtre non élucidée de l’un des « rois de la nuit parisienne », sur une disparition, une séquestration avec actes de tortures, et l’incendie de deux boîtes de nuit ! Tout cela parce que Christophe Belle avait eu le malheur de s’associer à l’un des hommes au parcours les plus ombrageux qui soit !

Une arrestation en 1962. Une autre en 64. Encore une autre en 69. Puis en 73, 83, 85, 87... Pratiquement toutes pour viol ou attouchement sur mineur de moins de 15 ans. Francis Évrard est un pédophile récidiviste. En quarante-cinq ans, l’homme a fait près de quarante années de prison. Et après chacune de ses sorties, il ne s’est jamais écoulé plus de quatre mois avant qu’il n’agresse à nouveau un jeune garçon.

Quand il a quitté le centre pénitencier de Caen, en 2007, après avoir purgé une peine de vingt ans, il n’a pas attendu deux mois avant de récidiver. Son passé criminel était bien connu des services judiciaires. Mais il a échappé au suivi dont il devait faire l’objet. Mieux, l’homme est sorti de prison avec une prescription de Viagra en poche ! De quoi lui donner le courage et la force d’enlever et de violer Enis, le 15 août 2007, à Roubaix…

Relayée par l’ensemble de la presse, l’affaire a immédiatement soulevé un large tollé en France. Le président de la République lui-même est monté au créneau, annonçant de nouvelles dispositions contre la récidive. C’est ainsi que « l’affaire du petit Enis » a inspiré l’une des réformes judiciaires les plus symboliques de ces dernières années : la loi de 2008, qui institue la rétention de sûreté pour les criminels les plus dangereux.

14x06 Les Mensonges de Denize Soares

  • 2013-10-20T19:00:00Z1h 30m

Sur le billet, c’étaient des vacances en famille. Trois semaines au soleil du Brésil. Mais pour Sébastien Brun, un jeune fleuriste de Grenoble, le voyage a tourné à l’aller simple. Il n’est jamais monté à bord de l’avion qui a ramené en France sa compagne, Denize Soares, et leur bébé de huit mois.

Commerçant prospère et ambitieux, jeune papa heureux en ménage depuis quatre ans avec une jeune Brésilienne, l’homme a décidé de tout quitter sur un coup de tête ! Sa famille, son magasin et ses amis… Il voulait refaire sa vie au Brésil. C’est ce que Denize a dû expliquer elle-même à ses beaux-parents. Car les Brun lui ont évidemment posé beaucoup de questions. Sébastien ne donnait aucune nouvelle… Denize Soares a tenté de les rassurer : leur fils était tombé sous le charme du pays. Avant d’avouer qu’il avait des ennuis en France. Il était racketté et s’était exilé pour échapper à ses « créanciers ». En plus, il avait le sida et il faisait du trafic d’armes ! Et puis, elle a dû admettre que Sébastien l’avait tout simplement quittée. Elle a même porté plainte contre lui pour abandon de famille.

Inquiets et complètement perdus, les parents Brun se décident tout de même à faire le voyage, en avril 2005. Mais, au Brésil, personne ne semble avoir vu Sébastien depuis le mois d’août. Ils préviennent aussitôt la police... qui découvre des mouvements suspects sur le compte bancaire du disparu. Denize s’est largement servie. Elle a même signé de fausses procurations pour solder des contrats d’assurance-vie ! Étrange… Mais la jeune mère de famille explique qu’elle n’a pas eu le choix : elle est sans ressources avec deux enfants !

Le 10 mars 2009, les gendarmes enquêtent sur la disparition de Luc Amblard et son compagnon Guy Bordenave. Le couple a disparu depuis trois jours, au grand désarroi de Marie-Laure Bordenave, la soeur de Guy. Luc et Guy, qui s'aimaient depuis quinze ans, menaient une vie tranquille à Couy, dans le Cher. La police suit l'hypothèse d'un crime crapuleux ou homophobe et piste Claude Juillet, l'ex-compagnon de Marie-Laure, et de Christophe Rayé. Trois mois plus tard, les gendarmes exhument les corps de Luc Amblard et Guy Bordenave à proximité de La Charité-sur-Loire, dans la Nièvre. Ils ont été enterrés vivants lors d'une mise en scène sordide où chacun s'est vu mourir, pelletée après pelletée, sous le regard de l?autre. Cette cruauté inouïe marquera à jamais les enquêteurs, les experts et les magistrats qui ont travaillé sur cette affaire.

Le dimanche 29 avril 2007, un ramasseur de champignons découvre le cadavre d’une femme, dans une forêt de Charente-Maritime. La victime est étendue sur le sol, face contre terre, les mains liées dans le dos par les manches de son chemisier.
Le haut de son corps et sa tête sont entièrement calcinés. Impossible de l’identifier ! Grâce à l’autopsie, les gendarmes apprennent seulement qu’il s’agit d’une jeune fille d’une vingtaine d’années. La cause de la mort ne fait aucun doute : une hémorragie cérébrale provoquée par des coups d’une extrême violence. Quelques jours plus tard...

Une colonne de fumée qui s'élève au dessus du lotissement, une explosion et des flammes gigantesques qui dévorent en quelques minutes la maison de la famille Bébien ; le spectacle est effrayant. Quand l'incendie se déclare, le 30 mai 1995, vers 18 heures, ce sont les voisins qui donnent l'alerte. Ce sont aussi les voisins qui s'affolent. A Saint-Andéol-le-Château, une petite ville du Rhône, tout le monde connaît Vincent, Odette et leurs enfants. Samantha, l'ainée de la famille, a quitté la maison depuis quelques années pour se marier, et élever ses trois enfants. Mais ses parents vivent toujours avec son frère et sa petite soeur. Et à cette heure là, tout le monde devrait être rentré ! Alors, que se passe-t-il ? La famille Bebien est-elle chez elle, en proie aux flammes ? Pourquoi ne s'arrache-t-elle pas du brasier ? Quand les pompiers maîtrisent enfin l'incendie, Samantha, qui a rejoint les voisins devant la maison de ses parents, veut encore croire au miracle... Mais un à un, les corps de son père, de sa mère, de son frère et de sa petite soeur sont découverts dans les décombres. Après l'angoisse, c'est maintenant la stupeur qui écrase les habitants de Saint-Andéol-le-Château. Une enquête est ouverte le soir-même. Et le médecin légiste apporte une autre nouvelle abominable : Un proche ? Au village, les langues se délient. Vincent, le fils, fréquentait les supporters les plus "durs" de l'Olympique Lyonnais et il refusait de reconnaître l'enfant de sa petite amie. Aurait-il attiré des ennuis à sa famille ?... A moins, que Samantha n'en sache plus qu'elle ne le dit ? Son attitude surprend tout le monde. Le jour de l'enterrement, elle portait une mini jupe et elle a organisé l'anniversaire de sa fille quelques jours après le quadruple assassinat ! Quant à son mari, Eric Bruyas, lui aussi attire rapidement l'attention des policiers. Quand il contacte l'assureur des Bébien, au lendemain de l'incendie, il a déjà dressé une li

Il est 8 h 30, ce 29 juillet 1995, quand un agent du PC de sécurité du Crédit Agricole du Rhône, alerte le commissariat de Thonon-les-Bains : un braquage est en cours dans une agence de la ville ! Il en est certain : il suit le hold-up en direct, grâce au système d'enregistrement qui le relie à toutes les succursales. Il sait qu'il y a deux braqueurs dans la banque ; sans doute, un troisième dehors. Ils sont calmes. Ils ont pris des clients en otages. Des pros ! Les policiers foncent sur place. Un collègue, resté en liaison avec l'agent de sécurité, tente de les prévenir, par radio. Ils sont repérés. Mais il est trop tard ! Un coup de feu crève la vitre de l'agence bancaire. Les policiers ripostent, et reçoivent une rafale d'arme automatique. Au PC de sécurité, l'agent de surveillance n'en croit pas ses oreilles. Il assiste, impuissant, à une véritable scène de guerre. Quand les tirs s'arrêtent, les braqueurs ont pris la fuite. Deux policiers sont blessés. Leur collègue est mort. Il venait d'avoir quarante ans. La PJ prend l'enquête en main. Elle a à faire à des hommes qui avaient bien préparé leur coup. Pour passer par la fenêtre des toilettes, la seule pièce à ne pas disposer de système d'alarme, ils avaient scié ses barreaux, quelques heures plus tôt, et pris soin de replacer la grille en la refixant avec du ruban adhésif du même vert que celui de la banque ! Sur place, les policiers ramassent des douilles en grand nombre et relèvent des traces de sang ; l'un des braqueurs a été blessé. Les témoins ont vu trois ou quatre hommes s'enfuirent à bord d'une Renault 21. Et quand on retrouve la voiture, elle contient encore une perruque, des sandales, des lunettes et l'arme du crime : une Kalachnivov. Il y a aussi un cheveu, sur un appui-tête. Et puis, les policiers disposent d'un élément capital pour confondre, un jour, les hommes qui ont tué l'un de leur confrère : la bande son du hold-up. Beaucoup d'indices, donc. Mais

D'abord, il y a eu le bruit. Celui d'un avion supersonique. Et puis, les murs ont tremblé, les vitres ont volé en éclat et la fumée s'est infiltrée partout... Une bombe a explosé au Sicapg, le syndicat chargé des questions d'environnement de la presqu'île de Guérande ! Complètement paniqués, les employés se précipitent à l'extérieur où ils contemplent, sans y croire, la façade en lambeaux. Et ils se comptent... Jacques Leparoux n'est pas là. Ce 24 novembre 2000, le technicien préparait un pot d'adieu dans la salle de réunion ; celle où s'est produite la déflagration ! Ses collègues racontent qu'ils l'ont vu passer quelques minutes plus tôt avec une chaîne hi-fi dans les mains pour fignoler les préparatifs de la fête. Dans la pièce ravagée, les policiers relèvent les débris et les tables déchiquetées. Le corps de la victime a été complètement soufflé. Quant à la chaîne hifi, il n'en reste pas grand chose. La charge explosive se trouvait à l'intérieur. D'après les témoignages, l'appareil avait été livré quelques mois plus tôt au Sicapg et il était resté dans son carton jusqu'à ce que Jacques Leparoux ne décide de le déballer. L'expéditeur est inconnu mais sur le bon de livraison qui accompagnait le colis, le destinataire est clairement mentionné : Christophe Priou ; le maire du Croisic (Loire-Atlantique), une figure montante de la droite locale. Qui peut bien en vouloir à cette personnalité respectée pour sa probité et appréciée de ses concitoyens ? Pour tout indice, les enquêteurs ne disposent que d'un bon Fedex ? qui se révèle être un faux ? et du bidon de bière, rempli d'explosifs, qui avait été dissimulé dans la chaine hifi. Vengeance personnelle ? Acte terroriste ? Toutes les hypothèses sont envisagées. Quelques mois plus tôt, un scandale de fausses factures avait ainsi éclaboussé le Sicapg. Mais il ne concernait pas Christophe Priou... Quant à la piste des indépendantistes bretons, elle n

C’est sa mère qui a découvert son corps, un matin de mai 1989. Sylvie Baton avait 24 ans. Elle gisait, à moitié immergée, dans sa baignoire ; les poignets et les chevilles attachés, le visage déformé par les coups.

L’étudiante a été violée, frappée et étouffée, dans la maison de gardien qu’elle occupait, à Avallon, avec son petit ami, Carlos. La porte d’entrée n’a pas été fracturée. Mais Carlos a un alibi. Il était au Portugal depuis quelques jours. Et Sylvie, qui était craintive, n’ouvrait pas à des inconnus. Alors, que s’est-il passé durant la nuit qui a précédé la découverte du drame ?

Les gendarmes commencent leurs investigations dans l’entourage de l’étudiante, et placent son frère, Marc, dans leur collimateur. Mais il est vite « détrôné » par l’ancien locataire de la maison de gardien. Un homme qui avait gardé une clé et pouvait donc entrer facilement ... Et comme sur la scène de crime, les enquêteurs ont relevé des cheveux qui lui appartiennent, le juge met cet homme en examen pour viol et homicide volontaire. Direction : la prison, où il va rester 19 mois ! Un an et demi de détention provisoire, avant que d’autres experts n’infirment les premières analyses de cheveux et ne l’innocentent !

Pour les enquêteurs, c’est un retour à la case départ... Et le dossier Sylvie Baton va « traîner » pendant près de 18 ans. Jusqu’à ce qu’un cinquième juge d’instruction, ne décide de faire réexaminer des scellés : Une couverture, promise à la destruction, et oubliée dans les caves du Palais de justice. Le labo examine alors toute l’étoffe, fibre par fibre et découvre un ADN. L’empreinte génétique est inconnue du fichier national, mais le juge, qui tente le tout pour le tout, transmet le code à Interpol. Et ça matche ! Loin d’Avallon ! En fait, Sylvie Baton a été victime d’un serial killer...

Les gyrophares des pompiers balayent les grands arbres du Moulin de la Chênaie. Son propriétaire, Eugène Le Couviour, vient d'appeler les secours. Sa femme est morte ; tuée par des cambrioleurs. La famille Le Couviour, tout le monde la connaît dans le Morbihan. Eugène a 90 ans. Il a été longtemps élu et il fait partie des grosses fortunes locales. Quand il a revendu son entreprise de lits hospitaliers, en 1991, l'homme a gagné beaucoup d'argent. Alors, le décès brutal de sa femme fait les gros titres de la presse. D'autant qu'Anne-Marie Le Couviour est morte dans de curieuses circonstances. Les cambrioleurs lui ont masqué le visage, avec près de 10 mètres de ruban adhésif ; obstruant ses yeux, mais aussi son nez et sa bouche ! Ses agresseurs ne lui ont laissé aucune chance. Elle s'est asphyxiée. Eugène, qui était aussi chez lui, au moment du cambriolage, ne présente que des ecchymoses et semble avoir été traité avec plus d'égards. Les enquêteurs sont perplexes. Pourquoi les cambrioleurs ont-ils traité aussi différemment les deux époux? Et surtout, pourquoi se sont-ils contentés de quelques bijoux, sans même prendre la peine de fouiller la maison ? C'est un coup de fil anonyme qui corrobore encore leurs intuitions. Il ne s'agit pas d'un simple cambriolage, explique ce mystérieux interlocuteur. Ce vol n'est qu'un leurre pour dissimuler l'assassinat d'Anne-Marie Le Couviour. Et l'homme leur livre un nom... Les gendarmes attrapent le fil, sans imaginer qu'ils vont ainsi "remonter" quatre personnes ! Deux tueurs, un intermédiaire et ... une commanditaire ! C'est une des belles-filles qui aurait fomenté le crime pour préserver l'héritage. Une belle-fille, oui, mais laquelle ? Eugène et Anne-Marie avaient deux fils et une fille, chacun. Des enfants issus d'un premier mariage. Ce qui fait donc cinq belles-filles pour Anne-Marie. Et cinq suspectes pour les gendarmes !... Au fil de l'enquête, c'est finalement, Josiane, l'épouse d'un des

2014-03-16T20:00:00Z

14x14 Affaires de femmes

14x14 Affaires de femmes

  • 2014-03-16T20:00:00Z1h 30m

2014-04-06T19:00:00Z

14x15 Episode 15

14x15 Episode 15

  • 2014-04-06T19:00:00Z1h 30m

2014-04-13T19:00:00Z

14x16 Episode 16

14x16 Episode 16

  • 2014-04-13T19:00:00Z1h 30m

2014-04-27T19:00:00Z

14x17 Episode 17

14x17 Episode 17

  • 2014-04-27T19:00:00Z1h 30m

2014-05-11T19:00:00Z

14x18 Episode 18

14x18 Episode 18

  • 2014-05-11T19:00:00Z1h 30m

2014-06-01T19:00:00Z

14x19 Episode 19

14x19 Episode 19

  • 2014-06-01T19:00:00Z1h 30m

Season Finale

2014-06-08T19:00:00Z

14x20 Episode 20

Season Finale

14x20 Episode 20

  • 2014-06-08T19:00:00Z1h 30m
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